Après une année et une qualification finale plutôt surprenante (dans le sens où je n’ai pas vraiment cherché à l’être), la composition d’une équipe, des semaines de tests et de débats sur la composition du roster (ensemble des listes alignées par l’équipe), encore des tests, l’annonce des groupes et des listes, des simulations de tous les match-ups possibles sur tous les scénarios possibles, 3 trains, 1 avion, une nuit dans l’aéroport de Barcelone, 1 dernier avion, 1 taxi, j’étais enfin à l’hôtel de Grenade où se tenait l’édition 2023 des Championnats du Monde par équipe (WTC). Le plus simple était fait !
Introduction
La qualification entérinée et les équipes créées, nous avons passé, avec mes coéquipiers (Bendrums, Ar-Mandô et Prodamp) de nombreuses semaines de réflexion sur la composition du roster. Sans entrer dans les détails de cet exercice très intéressant mais complexe, il s’agissait de déterminer quelles seraient les 5 listes que nous allions annoncer à l’organisateur.
Je ne vais pas revenir ici sur la manière dont s’organise le mondial par équipes, ni son système de poules puis ronde suisse, ni sur le système d’appariement : je vous renvoie pour cela à la courte introduction de mon article sur l’ETC de l’an dernier, et pour ceux qui voudraient pousser plus loin, à la page dédiée sur le site de la FFTM (adhérez si ce n’est pas déjà fait !).
Cette réflexion nous a conduit à aligner les 5 armées suivantes :
– une armée Angmar avec Roi-Sorcier à cheval, Gulavhar, 2 Galgal et 1 Capitaine,
– une armée LL des Assaillants de la Lothlorien avec Druzhag, Muzgur, etc (dans une version orientée Traqueurs, avec double bannière mais sans Chef de Meute,
– une armée Isengard menée par Saroumane, avec Lurtz, Gorulf et 2 Crébains,
– une alliance Umbar / Mordor / Harad avec Dalamyr, Khâmul sur Ombre Ailée, un Nazgûl à pied et Suladan,
– et… la Légion Légendaire du Conseil Blanc.
Cette Légion Légendaire au gameplay bien particulier est centrée sur la synergie entre les 5 héros qui en font partie (Saroumane, Gandalf, Radagast, Galadriel Dame de Lumière, et Elrond) : 5 Héros très puissants, ayant accès à une panoplie de sorts impressionnante, encore boostés par des règles spéciales de la Légion Légendaire. Bien qu’intéressante à jouer et suffisamment forte pour être compétitive, elle est assez peu populaire, car, comme d’autres armées au gameplay très spécifique dans le jeu (LL Balistes Isengard, LL Cavaliers Noirs…), elle n’offre quasiment aucune interaction à l’adversaire. C’est pourquoi, autant le dire tout de suite : je vous déconseille fortement cette armée dans le cadre de parties amicales, et plus largement même, dans les tournois classiques.
En format individuel dans un tournoi très compétitif, la liste peut clairement tirer son épingle du jeu (j’ai ainsi fini 5ème du tournoi de qualif WTC de Nantes en début d’année), mais son défaut, qu’elle partage avec toutes les listes polarisées, est d’être très dépendante des scénarios qui sont tirés au sort. Cependant, dans le cadre d’un roster et du système d’appariement, la liste a toute sa place : elle peut en effet battre a peu près n’importe quoi sur ses « bons » scénarios, et peut être sans regret être envoyée au sacrifice contre une bonne liste adverse sur ses « mauvais » scénarios. Suite à cette réflexion et à mon bon parcours à Nantes, nous avons donc décidé que je jouerai la liste aux Championnats du Monde.
Si vous souhaitez en apprendre davantage sur la manière donc nous avons pensé le roster, et les performances de chaque liste au WTC, je vous invite à regarder cette interview d’Ar-Mandô chez Gorbag, ou mon coéquipier revient en détail sur le parcours de notre équipe.
Notre groupe
Le WTC est séparé en deux phases : trois premières parties au sein d’un groupe de 4 équipes, puis trois parties en ronde suisse. Notre groupe était assez relevé, puisque nous affrontions l’Italie 2 (qui, spoiler, a remporté cette édition du WTC), l’Écosse 1, et la Suisse, dont c’était la première fois au WTC mais qui avait de sérieux arguments à faire valoir et des listes particulièrement solides et nombreuses. C’est contre eux que nous démarrions la compétition, en espérant tomber sur un scénario qui ne soit pas trop favorable aux hordes, et…
Partie 1 : Diviser et Conquérir
Malheureusement pour nous, nous tombons sur un scénario très favorables aux listes suisses. Cependant, nous réalisons une excellente phase de pairing puisque je réussis à attraper le Gobelinville adverse (une liste particulièrement taillée pour ce scénario avec notamment 2 troupes de mercenaires et le Scribe), l’évitant donc à mes camarades : sur le papier, c’est excellent, car je suis de toute façon très mal parti sur ce scénario. Le plan se passe donc comme prévu.
Il est clair que sauf miracle et énormes erreurs adverses, je vais perdre la partie. Cependant, au WTC, la victoire majeure ne se fait qu’avec 6 points d’écart, j’ai donc tout de même une mission importante pendant la partie : limiter la casse et faire une défaite mineure.
Je choisis le trajet le plus direct vers le centre de la table et, sans surprise, j’avance vers le centre en début de partie, tout en plaçant mes auras de terreur avec mes héros. Mon adversaire, très prudent, cache tous ses héros mais avance avec sa marée de… 98 Gobelins… et fait apparaître une première troupe de mercenaires dans la fontaine centrale.
Même si ma partie est probablement perdue, je sais que je n’ai qu’une chose à tenter : meuler, meuler et encore meuler pour démoraliser mon adversaire le plus vite possible et espérer un miracle. Comme je n’ai pas ses héros à gérer, il n’y a pas grand chose à réfléchir, et je commence à faire pleuvoir sur mes adversaire le déluge habituel du Conseil Blanc : Impacts Magiques, Colères, Bannissements…
Mention spéciale à Elrond qui tue, à lui seul, pas moins de 24 Gobelins sur la partie grâce à des Colères particulièrement meurtrières. Mais c’est tout de même trop peu et je concède la défaite mineure, 6-1. Mission accomplie pour moi !
La journée se poursuit avec une équipe sur le papier plus à notre portée, l’Écosse. Une équipe qui semble partager avec moi le goût des listes élite puisqu’ils alignent le Conseil Blanc et les Beornides dans leur roster !
Partie 2 : Domination
Nous tombons sur la désormais fameuse « map du pont », déployons nos objectifs en étoile, sans grande originalité, et c’est parti pour le match le plus bizarre de toute ma vie. Mon adversaire connaissant mieux la liste que moi, je décide de… copier ce qu’il fait, quand il déclare une canalisation héroïque avec Galadriel au tour 1 : il a l’air très sûr de lui.
Il lance immédiatement un Fortify Spirit canalisé sur Elrond et je prends conscience du cauchemar que cette partie va être. Je vous la fait courte, mais en 5 tours, tous nos héros (qui sont des mages avec beaucoup de Volonté et, pour 80%, des figurines avec 1V gratuit par tour), bénéficient de Résistance à la Magie, Esprit Fortifié (potentiellement canalisé), et des divers bonus de la Légion. Concrètement donc, si j’ai l’initiative et que mon Saroumane lance une Immobilisation sur le sien, il bénéficie de 4 dés gratuits pour résister avec +2 aux résultats. Oui, vous avez bien lu.
Autant vous dire que cette game fut des plus passionnantes (non). Statistique intéressante, nous n’avons réussi à passer qu’un seul sort offensif chacun de toute la partie, ce qui vu notre potentiel magique, et le nombre de tours joués (une quinzaine), est proprement ahurissant.
Mais j’ai une stratégie : affaiblir le Saroumane adverse et terminer la partie avec le Bannissement canalisé spécial de Galadriel, qui a le bon goût de passer sans possibilité de résistance. C’est mon Elrond qui est donc envoyé au charbon avec mon Gandalf, et qui vont faire un travail de sape pendant toute la partie. Mon adversaire remporte quasiment toutes les mains neutres, et mon Elrond réchappe de justesse à la mort plus d’une fois (il finit la partie en ayant perdu 4PV, merci Radagast pour la Guérison). Lorsque la fin de la partie s’amorce, mon adversaire n’a plus de Destins sur son Saroumane, je recule donc le mien hors de portée de sa Galadriel pour aller capturer un objectif.
Ma Galadriel sacrifie donc tous ses buffs pour déclencher son Bannissement canalisé et inflige 2 blessures au général adverse, à la stupéfaction de mon adversaire qui n’avait pas du tout vu le coup venir. La perte des aires de protection affaiblit grandement mes 3 héros au centre (Gandalf, Elrond et Galadriel, au sol), mais mon adversaire, lui-même à présent dispersé pour aller récupérer ses objectifs, ne peut pas les forcer à quitter la zone et ne parvient pas à les tuer.
Je remporte donc une victoire mineure 5-4, puisque nous tenons 2 objectifs chacun mais que j’ai blessé son général. Cependant, la journée n’est pas terminée puisque nous devons encore jouer l’ogre du groupe : l’Italie 2.
Partie 3 : Détruire les Réserves
Encore une fois, c’est un très mauvais scénario pour ma liste qui est tiré avec Détruire les Réserves. Dans la même poule, il y avait Récupérer l’Artefact qui frise l’autowin… mais bon soit, il va falloir reprendre la tactique utilisée contre la Suisse et m’envoyer à la mort contre la meilleure compo adverse sur le scénario.
Le pairing est encore une fois réussi et je me retrouve face à une compo LL Dunland avec 56 figurines dont 6 Crébains, autant dire un cauchemar sur ce scénario. Un rapide décompte des points me confirme que je vais avoir du mal à récupérer la mineure, car il gagne 2-0 de base (bannière) et je n’ai aucun moyen de protéger 2 de mes caisses. J’opte donc pour la stratégie offensive et je décide d’abandonner totalement mes Réserves et de foncer chez lui, avec en ligne de mire les points du général, la démo, la bannière, une caisse, bref tout ce qui se présentera pour remonter le 8-0 que je vais lui laisser en avançant.
Les choses commencent plutôt bien puisque pendant que les Crébains s’occupent de détruire mes caisses, mon adversaire divise ses forces devant et de chaque côté d’une maison. Je ne perds pas de temps, je bifurque sur mon flanc droit, et Immobilise Thrydan derrière la maison grâce à la règle spéciale de Radagast, à la surprise de mon adversaire. Je commence à meuler la phalange adverse : ma première cible est le Prêteur de Serment qui donne Sans Peur aux Hommes Sauvages à proximité, puis j’achève assez facilement Thrydan.
Je récupère donc 2 points de victoire, c’est bien mais pas assez pour récupérer la défaite mineure : à ce moment de la partie, mon adversaire gagne toujours 8-2. Malgré tout, l’italien est bien embêté : je suis entre deux de ses reliques, il ne peut pas se contenter de fuir en attendant la fin de la partie. Sa bannière, elle, le fait, il a retenu la leçon du général et l’envoie à l’autre bout de la table.
La première journée s’achève donc enfin, et je suis épuisé ; c’est difficile mentalement de devoir autant se concentrer et s’accrocher pour ne pas trop perdre, mais je suis plutôt content de mes performances de la journée, à l’exception notable de l’oubli du matraquage au dernier tour contre l’italien. Aussi, je suis assez conforté dans le choix de la liste dans le roster : nous avons réussi assez facilement à me placer contre la top liste adverse sur les scénarios qui étaient perdus d’avance pour moi, ce qui montre bien l’intérêt de la liste même sur des tirages de scénarios malchanceux.
Le lendemain, nous nous retrouvons face à l’Irlande 1, et j’espère enfin tomber sur un bon scénario…
Partie 4 : Contrôle du Champ de Bataille
… Évidemment, on tombe sur le pire des 18 scénarios pour les listes élite : Contrôle du Champ de Bataille. C’est donc reparti, encore une fois, pour le noble sacrifice : et encore une fois, j’accroche une excellente liste sur le scénario avec une alliance jaune Umbar / Harad / Moria, menée par Dalamyr, Suladan, et incluant notamment le Guetteur et 2 Chauve-souris.
Bref, la partie est totalement ingagnable puisque l’adversaire n’a qu’à se déployer dans plusieurs quartiers de table et me faire tourner en bourrique pendant 2h30 pour gagner la partie sans se fatiguer. Mais mon adversaire décide de jouer avec le feu en faisant exactement ce qu’il ne faut pas faire : il déploie toutes ses troupes dans un seul coin de la table, à l’exception de son général qui fait 1 pour sortir. Afin de le pousser à poursuivre dans son erreur, je sors immédiatement à côté de ses troupes… en claquant les 3 points de Puissance de Saroumane, et je lâche la douche sur Suladan pour mettre à la pression.
Et mon adversaire… tombe dans le panneau ! Paniqué, il déploie Dalamyr dans la même zone et y fait aussi sortir le Guetteur. Il existe donc un monde où je peux gagner cette partie ?
Sextuple 6 sur six dés, au meilleur moment possible – dans quel univers peut-on avoir autant de chance ?
Mais bien sûr, c’est au moment précis où je commence à rêver que le sort décide de s’en mêler. Mes héros se mettent à rater tous leurs sorts et leurs combats, contre des adversaires pourtant pas bien méchants – je perds systématiquement les élans, ce qui bloque mes Colères et mes Impacts, bref, rien ne se passe bien. Radagast, bloqué au combat contre un Suladan immobilisé, une chauve-souris qui a bien sûr réussi son test, et un soutien haradrim, se retrouve ainsi à faire une Défense Héroïque.
Il perd le combat, mon adversaire a donc 6 dés pour blesser sur du 6 (la chauve-souris et le guerrier haradrim, doublés). Mon adversaire jette ses 6 dés… et fait naturellement six 6, tuant directement Radagast. Merci, au revoir.
Tellement rageant, face à un adversaire qui enchaîne les erreurs de placement, et offre littéralement Dalamyr, son général, à la fureur d’Elrond !
Mais bien sûr, la malchance continue et Elrond butte sur le général adverse, pendant que mes héros, gravement affaiblis par la perte de 20% de mon armée, sont maintenant en lutte pour leur survie.
Heureusement, mon adversaire continue à missplay et tente de se replacer beaucoup trop tard sur les différents quartiers (il n’en aura que deux, dont celui sur lequel nous nous sommes battus toute la partie), pendant qu’Elrond finit enfin par venir à bout de Dalamyr.
C’est donc une défaite mineure 5-3, ce qui en soit est un bon résultat pour ma liste sur ce scénario, mais quelle frustration de ne pas avoir eu la moindre possibilité de punir les nombreuses erreurs adverses !
Évidemment, avec tout ça, la fatigue s’accumule, et… Vous me voyez déjà venir, je vais faire n’importe quoi.
Descendus assez bas dans le classement des équipes suite à cette avalanche de mauvais scénarios pour notre roster, nous nous retrouvons face aux camarades Belges. Les pools de scénarios restants sont assez bons pour moi en principe.
Partie 5 : Assassinat
HeStan tente alors la seule chose qu’il a à tenter contre mon armée : il décide de bourriner et d’espérer que ça passe, et envoie, au tour 1, Gwaihir sur Galadriel, Legolas sur Gandalf, un cavalier sur Radagast, et un cavalier sur Elrond, tout en approchant sa phalange pour un élan tour 2. Je grimace car c’est sacrément embêtant et dangereux, bien plus que de devoir subir le tir de Legolas… Ça m’apprendra. Heureusement, j’ai de la ressource : un Bannissement de Galadriel me permet de libérer Elrond du Cavalier embarrassant, et il peut aller charger Gwaihir pendant que mes autres mages immobilisent Gwaihir mais Legolas, héroïque, résiste !
Les combats se passent mal pour Gwaihir qui perd ses Destins et 1PV, mais Legolas remporte le Duel de Frappe et fait 5 blessures en 6 dés sur Gandalf, qui survit grâce aux Destins relançables. Dès le tour 2, c’est le raz de marée et les Nains m’encerclent, me forçant à des Défenses et des Frappes dans tous les sens… Elrond parvient cependant à se défaire de Gwaihir et le tue.
Mais c’est trop mal engagé, les Nains tapent trop fort, soutenus par les vougiers Elfes qui apportent le terrible Combat 5 et la lame elfique, et je continue à faire des erreurs en choisissant de rester me battre au lieu de fuir maintenant le général adverse terrassé.
Cette ultime erreur sonnera ma perte, et ma lourde défaite, méritée : Galadriel meurt, bientôt suivie par Radagast et Gandalf, et nous décidons avec mon adversaire d’arrêter là les frais.
C’est aussi le jeu des compos élite : la moindre erreur se paie cash. C’est donc une défaite majeure, la première du tournoi, et sur le meilleur des scénarios que j’ai eu jusque là sur le tournoi…
Moment difficile pour le moral : Après tant de scénarios galères à s’arracher pour grapiller des points, le petit moment de relâchement sur un scénario très favorable se transforme en désastre. Terrible ! C’est dans ces moments qu’il est bon de faire partie d’une équipe. Et il reste du travail pour remonter au classement et finir en beauté : ce sera contre la Suède.
Partie 6 : Combat des Champions
Pour mon dernier match, on tombe de nouveau sur un bon scénario, mais c’en est fini de la surconfiance : en face, il y a la Légion Légendaire des Défenseurs du Gouffre qui, certes, ne pourra pas beaucoup tirer, mais la C5 + lame elfique des Elfes m’a déjà ruiné une partie, je suis donc extrèmement méfiant.
Le décor est cependant très bon pour moi puisque le promontoire sur lequel nos généraux sont installés m’assure une certaine position défensive. Mon adversaire se déploie en premier et me donne la partie grâce à une erreur magistrale : il déploie la troupe de Théoden à 1 » de la ligne centrale. Je n’ai donc plus qu’à déployer mes héros sur la ligne, et la partie est gagnée : ses Elfes n’ont pas de lance, il avait donc prévu de les déployer en première ligne devant ses Rohirrim, mais à cause de mes zones de contrôle, il ne peut plus le faire. Échec et mat.
Le promontoire se vide rapidement de ses occupants, pendant que je retarde l’arrivée des Elfes à grands coups d’Impacts et d’Injonctions. Mon adversaire, démoralisé, finit assez vite par abandonner la partie et c’est donc une victoire majeure, 12-0, pour conclure cette nouvelle édition des Championnats du Monde !
Pfiou !
Merci pour ce rapport de tournoi, l’expérience engrangée pendant ce WTC doit être inestimable ! 😇
Ouaip c’est précieux ! Mais ça apprend aussi beaucoup à relativiser et mettre en perspective les bonnes comme les mauvaises perfs que l’on peut faire 🙂
Merci pour ce superbe compte rendu, on à l ‘impression d’y etre!!
Ca donne envie d’essayer de tournoyer, peut etre vais je m’y mettre…
Bonjour,
Merci pour ce rapport et bravo pour ces résultats !
Il y a quelque chose que je ne comprends pas sur la partie 2 en miroir contre l’autre Conseil blanc…
Il est clairement indiqué dans la description du sort « bannissement » qu’il n’est utilisable que contre les « Esprits ». Saroumane n’étant pas un esprit, je ne comprends pas comment cela peut fonctionner. Il doit y avoir une subtilité ou une FAQ qui m’a échappé. Si quelqu’un pouvait éclairer ma lanterne, je lui en serait très reconnaissant !
Merci par avance et Encore bravo, Amandil !
Merci !
Dans le cadre de la Légion Légendaire, le sort Bannissement peut être utilisé contre toutes les figurines, Esprit ou pas.
Merci pour tes explications !
Je me bornais à regarder la liste du « Conseil blanc » dans le livre des armées et je n’avais pas fait attention aux termes « légion légendaire » ! C’est donc la liste des « Vainqueurs du Nécromancien ».
En tous cas, merci pour ce que tu fais avec et pour la communauté autour de ce jeu. Cela donne envie de s’y mettre sérieusement et de tenter des parties compétitives.
L’épopée de cette liste est arrivée jusqu’au plus haut niveau ! Très sympa à suivre !
Merci à vous 😉
Mama mia ! Ce que je remarque pour la troisième partie, c’est qu’une petite fiche avec un encart contenant toutes les actions possibles pour ne pas tuer de figurine n’aurait pas été un luxe ! 😀
Merci Amandil, même si on est pas du tout dans le même niveau de liste, ça me donne envie de terminer la peinture de ma compagnie de Thorin !!!
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